Hautement sollicitée au quotidien – et cependant souvent moins chouchoutée qu’un accès principal -, l’allée de garage ne doit pas être négligée pour autant. Raison de plus de choisir avec soin son type de revêtement.
Elle doit tolérer le passage répétitif d’un ou plusieurs véhicules dépassant la tonne sans manifester le moindre affaissement, permettre l’écoulement des eaux pluviales, résister aux érosions, à la gélifraction ; et ne nécessiter, enfin, que peu d’entretien… On exige beaucoup de qualités d’une allée de garage. Mais de quoi doit-elle être faite ? Il y a plusieurs possibilités…
Aspect uniforme d’une allée de garage
Indémodables, le béton et le bitume (enrobé ou non) sont souvent plébiscités : souvent coulés ou posés dès la construction, leur durabilité ainsi que leur facilité d’entretien ne sont plus à démontrer. En particulier, lorsqu’il s’agit de lessiver les résidus graisseux, fréquents dans les garages. Point noir : une esthétique brute et peu d’originalité possible.
Les incessants progrès techniques ont donné naissance à des revêtements nouvelle génération, aux propriétés diverses. Le Baltazar notamment, obtenu par cristallisation stabilisée d’un minéral, de sel et d’eau, se revendique écologique. De couleur jaune orangé, il se nettoie au jet d’eau et présente l’avantage de se réparer sans laisser de raccord visible, à la différence du goudron.